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9 octobre 2008
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20:04
Première dégustation de l'association Wafutsu. Découverte des locaux, gentiment prêtés par un ami, que je remercie chaleureusement.
Beaucoup d'inscrits, une participante ayant prévenu nombre de ses ami(e)s. Je la remercie également avec chaleur, car c'est elle en grande partie qui aura fait démarrer ces dégustations.
Soirée très réussie, franchement un excellent début.
Après avoir présenté les différentes techniques de production de vins effervescents, expliqué les différentes terminologies (pétillant, mousseux, etc.) et indiqué les principales régions de production, nous avons dégusté les vins suivants.
Champagne Brut sans année Nicolas Feuillatte.
20 % chardonnay, 40 % pour chacun des autres cépages.
Champagne classique, assez frais, avec des arômes essentiellement d'agrumes. Un bon champagne d'apéritif.
Bollinger Spécial Cuvée.
Champagne plus raffiné et plus complexe que le précédent, avec une dominante grillée. Davantage un vin de repas. Mais vu le prix (40 €), je suis déçu. C'est d'ailleurs ce que je constate à chaque fois que je bois du champagne : à prix équivalent, j'éprouve beaucoup plus de plaisir avec un vin tranquille. On parle beaucoup de la hausse des prix des matières premières, comme le pétrole ou l'acier, mais on ne parle pas assez du prix exorbitant des bulles de champagne ! Car souvent, je trouve que l'on paie les bulles plus cher que le vin lui-même.
Riesling Sekt Trocken (Margarethenhoff).
Un riesling de la vallée de la Moselle, acheté directement chez le producteur, en Allemagne. Même après un bon champagne, il tient très bien la route : très agréable à boire, de bonnes acidités, et pourtant il ne m'a coûté que 8 €. La bulle doit être moins chère en Allemagne.
Crémant d'Alsace rosé, de Jean Dietrich.
Je l'avais apprécié en le dégustant en Alsace, mais hélas, cette bouteille était bouchonnée. Au moins, les participants ont appris ce qu'était le goût de bouchon.
Montlouis 1/2 sec de Chidaine.
Très frais, très bon équilibre entre sucre et acidité, vin très bien travaillé, mais il nous a paru peu aromatique. L'effet de l'accumulation ?
Moscato d'Asti Santo Stefano.
La révélation de cette soirée : un goût de muscat très prononcé, et des arômes exubérants. Un vin très festif et estival, très peu alcoolisé (5,5 %), idéal pour un apéritif, un dessert aux fruits ou même un goûter un jour de chaleur, sur une terrasse ombragée.
Beaucoup d'inscrits, une participante ayant prévenu nombre de ses ami(e)s. Je la remercie également avec chaleur, car c'est elle en grande partie qui aura fait démarrer ces dégustations.
Soirée très réussie, franchement un excellent début.
Après avoir présenté les différentes techniques de production de vins effervescents, expliqué les différentes terminologies (pétillant, mousseux, etc.) et indiqué les principales régions de production, nous avons dégusté les vins suivants.
Champagne Brut sans année Nicolas Feuillatte.
20 % chardonnay, 40 % pour chacun des autres cépages.
Champagne classique, assez frais, avec des arômes essentiellement d'agrumes. Un bon champagne d'apéritif.
Bollinger Spécial Cuvée.
Champagne plus raffiné et plus complexe que le précédent, avec une dominante grillée. Davantage un vin de repas. Mais vu le prix (40 €), je suis déçu. C'est d'ailleurs ce que je constate à chaque fois que je bois du champagne : à prix équivalent, j'éprouve beaucoup plus de plaisir avec un vin tranquille. On parle beaucoup de la hausse des prix des matières premières, comme le pétrole ou l'acier, mais on ne parle pas assez du prix exorbitant des bulles de champagne ! Car souvent, je trouve que l'on paie les bulles plus cher que le vin lui-même.
Riesling Sekt Trocken (Margarethenhoff).
Un riesling de la vallée de la Moselle, acheté directement chez le producteur, en Allemagne. Même après un bon champagne, il tient très bien la route : très agréable à boire, de bonnes acidités, et pourtant il ne m'a coûté que 8 €. La bulle doit être moins chère en Allemagne.
Crémant d'Alsace rosé, de Jean Dietrich.
Je l'avais apprécié en le dégustant en Alsace, mais hélas, cette bouteille était bouchonnée. Au moins, les participants ont appris ce qu'était le goût de bouchon.
Montlouis 1/2 sec de Chidaine.
Très frais, très bon équilibre entre sucre et acidité, vin très bien travaillé, mais il nous a paru peu aromatique. L'effet de l'accumulation ?
Moscato d'Asti Santo Stefano.
La révélation de cette soirée : un goût de muscat très prononcé, et des arômes exubérants. Un vin très festif et estival, très peu alcoolisé (5,5 %), idéal pour un apéritif, un dessert aux fruits ou même un goûter un jour de chaleur, sur une terrasse ombragée.
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