9 mai 2009
6
09
/05
/mai
/2009
12:43
A l'ouest de Nagoya, au début de la péninsule d'Ise, ces deux sites sont à visiter absolument.
D'abord, le sanctuaire d'Ise, site le plus vénéré du Japon. Il est dédié à Amaterasu, déesse du soleil, divinité mère du Japon, de laquelle descendent tous les empereurs. Après avoir garé la voiture, on traverse quelques rues commerçantes, jusqu'à un pont marquant l'entrée du sanctuaire.
A partir de là, plus de commerces, plus de toilettes, on est vraiment dans un lieu sacré. Après ce pont, on traverse un beau jardin, entretenu en permanence par des jardiniers taillant les arbres, montés sur des échelles et chaussés des fameuses chaussures à pouce séparé.
Après ce jardin, on accède à une rivière, qui se fraie un passage entre des collines boisées. C'est par cette rivière que sont acheminés les morceaux de bois servant à la construction du sanctuaire.
Enfin, après avoir traversé une forêt de cryptomeria, on arrive au sanctuaire proprement dit. Et là, déception, on ne peut pas visiter !
On monte un escalier, on arrive sur une terrasse, et on se retrouve face au sanctuaire, caché aux visiteurs par un voile blanc. Les photos sont interdites. Un léger coup de vent soulève le voile, laissant apercevoir le sanctuaire, et ressentir l'âme japonaise.
Jouxtant cet endroit, une esplanade recouverte de cailloux, également inaccessible, est prête à recevoir le nouveau sanctuaire. En effet, les bâtiments sont détruits et reconstruits à côté tous les 20 ans, avec les pièces de bois arrivant par la rivière. Quant aux pièces du sanctuaire démonté, elles sont envoyées dans les autres sanctuaires du Japon. La prochaine reconstruction aura lieu en 2013.
D'abord, le sanctuaire d'Ise, site le plus vénéré du Japon. Il est dédié à Amaterasu, déesse du soleil, divinité mère du Japon, de laquelle descendent tous les empereurs. Après avoir garé la voiture, on traverse quelques rues commerçantes, jusqu'à un pont marquant l'entrée du sanctuaire.
A partir de là, plus de commerces, plus de toilettes, on est vraiment dans un lieu sacré. Après ce pont, on traverse un beau jardin, entretenu en permanence par des jardiniers taillant les arbres, montés sur des échelles et chaussés des fameuses chaussures à pouce séparé.
Après ce jardin, on accède à une rivière, qui se fraie un passage entre des collines boisées. C'est par cette rivière que sont acheminés les morceaux de bois servant à la construction du sanctuaire.
Enfin, après avoir traversé une forêt de cryptomeria, on arrive au sanctuaire proprement dit. Et là, déception, on ne peut pas visiter !
On monte un escalier, on arrive sur une terrasse, et on se retrouve face au sanctuaire, caché aux visiteurs par un voile blanc. Les photos sont interdites. Un léger coup de vent soulève le voile, laissant apercevoir le sanctuaire, et ressentir l'âme japonaise.
Jouxtant cet endroit, une esplanade recouverte de cailloux, également inaccessible, est prête à recevoir le nouveau sanctuaire. En effet, les bâtiments sont détruits et reconstruits à côté tous les 20 ans, avec les pièces de bois arrivant par la rivière. Quant aux pièces du sanctuaire démonté, elles sont envoyées dans les autres sanctuaires du Japon. La prochaine reconstruction aura lieu en 2013.
Photo de l'esplanade
-----------------------------------------------
A quelques kilomètres de là, au bord de la mer, se trouvent les fameux rochers de Futamigaura. Considérés comme les dieux parents du Japon, ils sont mariés, et reliés par une corde.
Sur le même site, des petits sanctuaires dédiés au dieu crapaud.
Et à la sortie, des boutiques de souvenirs, comme toujours au Japon. Celles-ci vendent, entre autres, des sucettes (vendues par deux), l'une représentant un sexe d'homme, l'autre un sexe de femme, et ce de façon très explicite. Pas de photo des sucettes, je n'ai pas pu attendre pour les dévorer ;-))
Sur le même site, des petits sanctuaires dédiés au dieu crapaud.
Et à la sortie, des boutiques de souvenirs, comme toujours au Japon. Celles-ci vendent, entre autres, des sucettes (vendues par deux), l'une représentant un sexe d'homme, l'autre un sexe de femme, et ce de façon très explicite. Pas de photo des sucettes, je n'ai pas pu attendre pour les dévorer ;-))